Dommage que le film ne joue pas plus longtemps, plus subtilement sur les deux bascules envisageables, croissante paranoïa individuelle ou insidieux complot généralisé et verse ensuite dans une claustrophobie grand-guignolesque et suicidaire. On aura tout de même appris comment se passer de l'aspirine ou d'un dentiste, en cas de puissante névralgie à une souffrante molaire un peu trop rétive.