De laborieux ébats érotico-copulateurs en pagaille, fallacieusement croustillants (pour l'oreille ? pour la vue ?), souvent mornes et scénarisés dans une fausse urgence du désir féminin, en veux-tu, en voilà, avec un Mathieu Amalric virilement investi dans un rôle activement érectile, entre joyeux et borné désespoir existentiel et constant narcissisme égrillard, pour une oeuvre somme toute bancale référençant du côté de l'incontournable et génial Calaferte ("La mécanique des femmes" et l'inoubliable "Septentrion") mais qui ne lui arrive même pas au niveau du la ceinture.