Une curieuse première partie en forme d'intéressant préquel à l'originelle version du metteur en scène John Carpenter
"La nuit des masques" pour un prolongement qui reste ensuite cantonné dans les balisés archétypes et schématisations du genre, avec toutefois une inquiétante et constante propension à plus de sauvagerie encore (pas moins d'une vingtaine de cadavres en tous genres).