Scénaristiquement, le film nous fait penser à la solide et troublante réalisation de Hirokazu Kore-Eda (2004) :
"Nobody knows" et par son climat profondément déprimé, déprimant, au crépusculaire film de Nagisa Oshima (1969) :
"Le Petit garçon", tous trois nous proposant une perturbante vision, désastreuse et désarmée, de l'enfance face à l'impassibilité des adultes et à l'indicible cruauté parentale.