Prenez une pincée de science-fiction bas de gamme, mâtiné d'érotisme soft et de neige canadienne, une giclée de teenagers en manque d'affirmation, vous rajoutez un stupide final aisément prévisible, quelques trucages basiques sur un fond sonore conventionnel et conventionné, vous agitez dans le sens onanistique et vous aurez votre énième production clonée d'un genre passe-partout, casse-bonbons.