C'est une place d'honneur que mérite Anne-Marie Meyer, dans l'inquiétante procession des écorchées vives et des reines du dysfonctionnement des affects, en compagnie de quelques unes de ses perturbées consœurs comme
"Anna" mais auss
"Carole" et
"Anna/Hélène", qui hantent durablement le cinéma français.