Dieu que c'est affligeant et ringard au possible, au point de dégager finalement une médiocre ode poético-sinistre, où l'incongruité devient presque charmante et la bêtise scénaristique, une aimable divagation de l'esprit. Etonnante particularité, jusqu'à aujourd'hui jamais rencontrée dans aucun film du genre, après une morsure infectée d'un quelconque vampire, et avant de se transformer aussi en créature avide de sang et de morsures, on a le corps qui se recouvre de poils épais et disgracieux (!?).