Même si la fin du film est un peu trop déterminée dans l'insistance mélodramatique, ne se privant pas de l'incontournable et facile acmé situationnelle (un enfant qui vient de naître, dans les bras d'un homme qui va mourir) nous sommes néanmoins en présence d'une oeuvre intéressante, incisive et cruelle qui rappelle, avec bonheur, de par son atmosphère oppressante et sa morbide tonalité toxique, les meilleures créations dramatique de l'incisif Argentin
"Léopoldo Torre Nilsson" et du radical Mexicain
"Arturo Ripstein", pour notre plus grand contentement.