Critique de
SPECTRE
Après les excès délirants de Moonraker, Bond revient sur terre et c'est tant mieux... Le film est privé des décors de Ken Adam et les producteurs ont décidé de dégadgétiser Bond qui commençait à ressembler à un robot ménager tous usages. Broccoli toujours aussi futé s'est rendu compte qu'il ne fallait pas user le mythe. A part quelques petites longueurs, le film est parfait. John Glen qui était un habitué de la série-montage et réalisation 2eme équipe, allait rehausser la série qui s'était embourgeoisée avec Lewis Gilbert le meilleur des Moore et finalement un des meilleurs Bond.