Un grand metteur en scène souvent ignoré par les cinéphiles dans la grande galaxie des réalisateurs nippons du cinéma muet, qui confirme à nouveau, dans cette oeuvre fort morale (le méchant se suicidera après des malversations bancaires et professionnelles et une vaine tentative de fuir à Shanghaï) la place importante qu'il occupe et qu'il est urgent de lui attribuer sans hésitation.