Constantin Lopouchanski continue sa besogneuse rengaine apocalyptique qui de film en film se dégrade et perd de son intérêt et de sa crédibilité. Puisant quelques fastidieuses inspirations dans certains classiques du cinéma de science-fiction, du "Village des damnés" en passant par "Stalker" et saupoudrant le tout d'une infâme bouillie ocre, censée créer une atmosphère sinistre, l'inconsistant cinéaste nous plonge dans une insidieuse délitescence faite d'ennui, de lassitude et de déception.