Une sympathique incursion dans la mythologie hagiographique qui se laisse encenser du début à la fin, sans rémission, réalisée par un metteur en scène dont on reconnaît un évident savoir-faire scénaristique et visuel, même si pour notre part, nos préférences picturales vont vers d'autres confrères encapuchonnés, les fameux cavaliers templiers, morts-vivants, du film d'Amando de Ossorio,
"La noche del terror ciego".