D'une gonflante mièvrerie nauséeuse, sur un scénario d'une lourdeur pachydermique, où le jeu des acteurs, la musique d'accompagnement et la structure du récit s'enlisent dans de vomitifs magmas démonstratifs sur l'Amour qui sauve, régénère et triomphe, une oeuvre mortelle, suicidaire, qui en moins de rien peut parvenir à détruire chez le cinéphile néophyte, une naissante passion pour le Septième Art.