inconnu(e)
Marianne Sägerbrecht reste excellente dans ses accueillantes rondeurs ; Percy Adlon, fidèle à ses inévitables plans décadrés ; le métro munichois, toujours aussi propre. Mais le film quant à lui, nous laisse sur notre faim et sur sa fin. Malgré un humour frais et une évidente tendresse pour ses personnages, Adlon n'arrive jamais à décoller de l'anecdotique et du fait-divers sentimental pour arriver à l'intemporalité. Après une excellente première demie-heure, le film tourne à vide et ne se renouvèle plus pour finir immanquablement dans l'eau (d'une piscine) où seul le cri (libérateur ?) de l'héroïne mérite considérations .