Même si la sympathie pour notre lunaire binoclard, roux et barbu en plus, ne fait pas de doute et ne sera jamais prise en défaut, il n'empêche que cette irrévérencieuse pochade norvégienne, quelque peu abrasive et colorée, manque tout de même de maîtrise et de consistance, certainement trop cornaquée par les exigences du scénariste / écrivain dont la présence nous paraît lourdement perceptible.