Avec un constant humour désabusé et caustique et une interprétation haut de gamme d'Alberto Sordi, étonnant dans sa verbeuse exubérance et sa conciliante faconde, cette oeuvre transalpine faussement débonnaire, a priori inédite en salles dans l'Hexagone, dénonce, mine de rien, la profonde et permanente gangrène de la religion, de la politique et du monde des affaires contaminés par la tentaculaire mafia.