Au crédit de cette production britannique, entièrement sous la coupe de son acteur principal, Noel Clarke, scénariste et producteur itou, une évidente capacité de générer l'angoisse et la tension, en exploitant au maximum les éléments inhérents aux codes du huis clos et de l'obscurité. Beaucoup plus discutable et finalement d'une nette incongruité scénaristique, la destruction de l'horrible bestiole à coups de pétards et de fusées d'artifice ainsi qu'un final stupide et lourdingue en direction d'une invasion alien.