Visionnée au 31ème festival du Film Muet de Pordenone 2012, lors d'une conséquente rétrospective sur l'actrice Anna Sten, cette première oeuvre du réalisateur, sans collaboration extérieure, flirte constamment avec les canons du mélodrame, et se présente d'une indéniable et profonde noirceur, fustigeant avec insistance et mépris, la classe dominante et ses complices institutionnels, comme la police et la justice.