Surtout pour le plaisir de retrouver l'agréable frimousse d'Anna Sten, dans une oeuvre, certes traversée ponctuellement par un certain souffle narratif épique et nerveux, mais qui, à l'instar de certaines autres réalisations du brillant metteur en scène, n'est jamais vraiment inspirée, inoubliable, unique.