Fiche Film - THE ROCKY HORROR PICTURE SHOW

Après une malencontreuse panne de voiture, Janet et Brad se retrouvent hébergés par un inquiétant valet dans une étrange maison où se tient la réunion annuelle des Transsylvaniens. D'incroyables personnages (le docteur Frank R. Furter, fou transsexuel ; Rocky, humanoïde parfait ; Eddie, un ancien Hell's Angel...) vont côtoyer nos deux amoureux dans un délire de musique et de science-fiction.

Critiques et Commentaires

Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches

Note Cinéfiches : 17/20

Un film culte aux States, véritable petit chef d'oeuvre d'humour, de mauvais goût, de fantaisie et d'imagination. Une oeuvre inoubliable et inclassable !

Ajouter Votre
Critique/Commentaire

Critiques - Commentaires Public

Critique de inconnu(e)

En 1975 apparaissait sur les écrans un film, pas un petit film, non, un chef-d'oeuvre, que dis-je une merveille. cette huitième merveille du monde, c'est le « The rocky horror picture show » so don't dream it be it, and let's do the time warp again. Et que ceux qui ne l'ont pas vu se précipite dans leur vidéo-club ou dans le cinéma le plus proche à la recherche de cette perle, de cette merveille and for the end i'm going home my name is Brad Majors and this is my fiance Janet Weiss vive Riff Raff et en attendant un diff télé. Ciao les fans de rocky.

Critique de inconnu(e)

Du kitsch et du sublime a l'état pur.... On plonge dans le bain moussant de Frank "N" Furter et on se fait même parfois le mec dont on rêvait après la projection parce que pour une fois, il avait un peu oublié d'être coincé.... Un autre avantage, la possibilité de transférer sur le personnage de son choix : c'est comme çà que Stef s'est découvert l'âme d'une soubrette vicieuse et lubrique. Bon, moi je suis un inconditionné, vu 26 fois... J’ai joué Frank et j'adore... Let's do the time warp again.

Critique de E. MARIN

Film culte aussi en France, à Paris plus précisément où de nombreux étudiants se sont donnés rendez-vous chaque semaine dans une salle qui le projette. Spectacle garanti sur écran et dans la salle! Un déluge de "décadanse" pour ce film exceptionnel: quelques scènes à but essentiellement comique, d'autres pour déranger, et une idée de génie: avoir un narrateur qui intervient de temps en temps, alors qu'on s'aperçoit à la fin que c'est un peu comme s'il n'y avait pas d'histoire... 118 chansons (style les Who et Elvis) et autant de performances vocales. Let's do the timewalk again!

Bibliographie