Même si les épreuves et la tension vont crescendo, on reste un peu enfermé, voire coincé dans les rails balisés du scénario, menant vers un inéluctable dénouement largement prévisible. Pour notre part, nous aurions fort bien vu, en épilogue absurde et pseudo-moral, que tout cet argent distribué, gagné, amassé, se révèle finalement au matin, devant un anodin guichet bancaire, être des faux-billets.