Critique de
inconnu(e)
A l'heure où l'on devrait ressortir le Grand Meaulnes, de Gabriel Albiccocco, et d'autres aujourd'hui (sortie octobre 2006) viennent d'essuyer un échec en tentant de porter l'ouvrage de Fournier à nouveau sur les écrans.Un hommage à Gabriel Albiccocco s'impose. Lui que le cinéma abandonna à sa misère et à sa solitude dans le Brésil lointain.La balle est dans le camp de Katz productions.