On a connu notre metteur en scène kazakh bien plus inspiré dans ses réalisations antérieures, qui pour cette discutable adaptation d'un classique de la littérature soviétique, a tenté de nous faire partager le tumulte existentiel et la déliquescence morale d'une frange de la société de son pays, confrontée à une violence de plus en plus habituelle induites par de profondes inégalités de pouvoir et de classes.