Si l'idée de départ pouvait avoir un relatif intérêt scénaristique, le traitement volontairement gore de l'ensemble replace l'oeuvre à son juste niveau, c'est-à-dire fort quelconque et lourdement commercial avec ses nécessaires violences présentes tous les quarts d'heure de pellicule et une incontournable surenchère d'hémoglobine et de sadisme, aux confins de l'outrance et du ridicule.