Le cinéma érotique scandinave des années 1970 détient quelques fleurons du genre qui restent aujourd'hui encore les dignes représentants d'une catégorie de films bienvenus, à l'époque émergente, sortis du ghetto des avatars roses et crades en huit millimètres, de dessous le manteau. En ce qui concerne cette production, comme d'ailleurs la plupart des autres réalisations de Mac Ahlberg, ultérieurement reconverti en chef-opérateur aux States pour des films de série B, rien à retenir, ni au premier ni au second degré, une catastrophique nullité d'une bêtise insondable.