Critique de
signature non-référencée
Par-delà les collines, une ferme devenue à la fois quartier général des forces militaires et souricière des partisans, se transformera en théâtre de l'offense, de l'humiliation. Nous assisterons au ballet de la perte d'identité collective et individuelle. La force de l'occupation règne, s'étend. Les limites sont levées, l'Homme devient un fantôme, un exécutif dénué d'émotion ... Pourtant, un souffle de résistance prendra corps dans la mort. Un film qui attise la révolte ... Un grand poème où le silence tonitruant et le cri étouffé s'imposent.
DD / PP