Par vraiment d'unité narrative ou conceptuelle, de cordon ombilical ou de colonne vertébrale pour ces trois courts métrages teutons, hormis un vague lieu géographique sans intérêt dans le déroulement des différents opus dont le plus mauvais reste sans conteste le dernier ; le plus violent, le second et le plus tranchant et classique, celui réalisé par Buttgereit, en évidente perte de folie créatrice.