Même si la dénonciation des ignobles forfaitures de ces ministres du cul(te) reste toujours d'une absolue nécessité, force est de reconnaître que l'insistance lourde et répétée sur les actes pédophiles commis, dessert finalement le propos initial par une propension narrative à la limite de l'exhibitionnisme verbal et du graveleux pesant.