Une œuvre désormais bien poussiéreuse qui a de toute évidence mal supportée les outrages du temps, l'émancipation des mœurs et les libéralités de la censure, ne restant dans la mémoire cinéphilique que pour avoir donné sens et naissance au mythe généré par l'actrice Theda Bara et au terme aujourd'hui fortement usité de vamp.