Comme les habitants de ce foisonnant complexe résidentiel qui s'enfoncent et se défoncent dans un frénétique tumulte désordonné, générateur d'une paradoxale et primaire harmonie dans le chaos et l'outrance, les derniers films du surestimé Ben Wheatley s'érigent en prétentieux paradigmes artistiques qui se voudraient démystificateurs et subversifs, ne montrant finalement que des ectoplasmes ridicules et grotesques, incapables de susciter chez le spectateur la moindre réflexion.