Quarante-septième long métrage (et premier en numérique) du réalisateur, teinté d'une subtile mélancolie qui évite avec grâce et finesse les perceptibles écueils de l'amertume pour nous entraîner avec bonheur et sérénité, dans la discrète nostalgie des souvenirs et des songes, subtil point d'ancrage d'un passé (à) jamais révolu.