Genre
THRILLER
Nationalité
États-Unis231
Titre VO : Détour
Durée : 1h36
Thèmes
Réalisation
:
Christopher SMITH
Scénario
:
Christopher SMITH
Interprétation
Récompenses
Prix de la Jeunesse Denis-De-Rougemont, Neuchâtel 2016
Résumé
Fringant étudiant en droit pénal, le jeune Harper s'en vient diluer sa peine et sa rancœur dans quelques bars nocturnes de la ville. En effet, il vient d'apprendre que sa mère hospitalisée est désormais mourante, une dramatique et douloureuse situation dont il rend responsable son beau-père qu'il accuse d'avoir volontairement provoqué l'accident de voiture dans lequel cette dernière fut gravement blessée. L'alcool aidant, il commence à s'épancher auprès d'un autre consommateur, un certain Johnny Ray accompagné de sa copine Cherry et d'un vague comparse, à qui il promet une somme de 20.000 dollars pour se venger du vil compagnon de sa mère...
Le lendemain, Johnny et Cherry se présentent au domicile du jeune garçon afin de partir avec lui à Las Vegas pour occire le mécréant qui devrait y séjourner en compagnie d'une maîtresse. Un peu dégrisé, le garçon refuse de réitérer sa demande de la veille qu'il met sur le compte d'un abus de whisky et d'un moral en berne. Après moult hésitations et dénégations, Harper finit par accepter, proposant de partir avec la puissante voiture de son beau-père garée dans le garage.
Le lendemain, Johnny et Cherry se présentent au domicile du jeune garçon afin de partir avec lui à Las Vegas pour occire le mécréant qui devrait y séjourner en compagnie d'une maîtresse. Un peu dégrisé, le garçon refuse de réitérer sa demande de la veille qu'il met sur le compte d'un abus de whisky et d'un moral en berne. Après moult hésitations et dénégations, Harper finit par accepter, proposant de partir avec la puissante voiture de son beau-père garée dans le garage.
Critique
24186
Critique de
Jean-Claude
pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Visionné au 9e Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, ce sixième long métrage d'un réalisateur britannique devenu en peu de temps la coqueluche de bien des aficionados du cinéma du genre, est finalement bien plus retors que ne le laisse entrevoir un scénario faussement binaire, en fait d'une adroite perversité.