Au-delà de l'énoncé primaire et symbolique du scénario qui évoque et convoque avec un certain bonheur reptilien la suffocation dévorante du désir, l'œuvre s'englue et se dissipe dans des additifs surnuméraires, souvent bouffonnes de l'intrigue, pour faire du remplissage et des inutilités en pagaille pour notre plus grinçant désappointement.