S'il arrive quelquefois de déceler, dans quelques séquences, l'esprit déluré et dénudé du fameux recueil de nouvelles écrites par le libidineux Boccace, on est surtout consterné par la constante vulgarité verbale et une totale absence d'énonciation et de subtilité picaresques qu'avaient su instiller magnifiquement Pasolini, en son époque.