Il y a bien longtemps, quand les soucis n'obscurcissaient pas le ciel estonien, on aimait passer le temps dans les cafés. Puis est arrivée l'occupation soviétique. En 1968, les cafés sont les mêmes mais ceux qui les fréquentent ont changé. Ils ont l'air fatigué et n'ont rien à se dire.
Source : Matériel de presse