« Adieu les cons » Épitaphe dont on comprend bien mieux la profondeur à la dernière image. Prohibant un monde inodore, répressif, lâche et distant dont les propos ne sont plus qu’une langue de bois appropriée au cas par cas que l’on distille hypocritement sans se soucier de l’impact dramatique que cela occasionne. Sur des esprits fragiles glanant uniquement dans un monde bien à eux les indispensables configurations sensitives nécessaires à leur épanouissement qu’un environnement privé de toute compassion n’est pas capable de leur offrir. Quelques lunaires effondrés ou encore debout partageant le temps de leur connexion confession et tendresse en se laissant emporter au fil de l’eau par un évènementiel dont la finalité est de leur fournir une révélation. On se cherche en se découvrant bien souvent par hasard malgré quelques circonstances révélatrices d’une harmonie préétablie entre plusieurs intervenants. Dont le but est de démontrer qu’il existe encore de l’attention et de l’investissement dans un contexte cloisonné ou paroles et sourires sonnent faux. Permettant avant de tirer sa révérence de remonter en surface de véritables sentiments que l’on ressent au plus profond de soi-même au contact d'un monde éteint sans pouvoir hélas leur fournir une continuité.