Adaptation sans surprise d'un bouquin sans génie, le film de Cotti nous vaut une prestation teenie de Thomas Langman (néanmoins prometteur) et un passage mélancolique d'une actrice de grand talent qu'on avait vue sous de meilleurs auspices : Kristin Scott Thomas. Une question au réalisateur (et, incidemment au producteur, Tarak Ben Ammar): est-ce un hasard ou une provocation que le curé (que l'on n'aperçoit que dans une brève séquence) soit interprété par un acteur musulman (tunisien, semble-t-il) ?