Une atmosphère hautement kafkaïenne, nimbée souvent d'une réjouissante causticité, en permanente dénonciation de la bureaucratie vaticane, mais surtout de la profonde déliquescence qui règne dans ses louches officines et leurs corrompus serviteurs gravitant autour de la religion et ses nauséeuses simagrées. Malgré des acteurs excellents et visiblement "consacrés" par leurs rôles respectifs, on regrette quelques fluctuations de l'intérêt et un coupable relâchement de la sainte intrigue.