Pas moins de 13 meurtres sanglants et variés en 75 minutes plutôt réjouissantes qui préfigurent bien avant l'heure les genres "slasher" et "gore" transalpins qui vont déferler sur nos impavides écrans, quelques années plus tard. Malgré les récurrents défauts de Mario Bava abusant des zooms et des approximations techniques, cette oeuvre reste exemplaire et bienvenue dans la fluctuante filmographie du cinéaste, avec comme ultime et mémorable référence, l'enfantine et radicale pirouette finale.