Ce qui pourrait paraître comme un regard malicieux sur la paranoïa masculine est en fait une manifestation de misoandrie charactérisée, et Doris Doerrie n'en est pas à son coup d'essai. Heureusement, le public français avait jusqu'à présent eté épargné de ses précédentes variations sur le thème, à part "Mes deux hommes" tous aussi douteux. La présence de Griffin Dunne confirme si besoin en était le manque d'originalité de la réalisatrice, qui a vu "After Hours". Sa composition ne fait qu'ajouter à notre agacement constant.