Critique de
AXEL
Sans doute le film le plus noir et le plus pessimiste du cinéma français. Jamais Signoret, Blier et Frank Villard ne trouvèrent d'aussi beaux rôles. Sans oublier Jacques Baumer, dans un personnage ingrat ou Jean Ozenne (préfigurant le vieux beau du "Journal d'une femme de chambre" de Bunuel). Et puis il y a Jane Marken, époustouflante en mère maquerelle de Signoret. Jamais le cabotinage n'aura atteint ce sommet... Jane Marken mérite pour son rôle le prix cinéfiches des meilleures interprétations.