Tout le film est à l'image de cette anecdote : fait pour être un Messie, le Divin se fait constamment souffler sa place au dernier moment par un usurpateur, resté celui-là dans toutes les mémoires. Brian finit crucifié dans l'anonymat, mais chante tout de même : "Il faut prendre la vie du bon coté". Drôle bien que comme toujours chez les Monthy Python, le meilleur côtoie le pire.