LE TRESOR DE LA SIERRA MADRE - 1948

Titre VF LE TRESOR DE LA SIERRA MADRE
Titre VO The treasure of the Sierra Madre
Année de réalisation 1948
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h06
Genre AVENTURES
Notation 15
Date de sortie en France 11/02/1949
Thème(s)
Traven (Bernard)
Tigres (Cinéma américain)
Fourmis (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
HUSTON John
Chef(s) Opérateur(s)
MAC CORD Ted
Musique
STEINER Max
Renseignements complémentaires
Scénario : John Huston
d'après le roman de Bernard Traven .....
Distribution : Grands Films Classiques

Visa d'exploitation : 7197

Nota :

- Oscar de la meilleure réalisation 1948 et Oscar du meilleur second rôle pour Walter Huston ..... 

- Affiche du film d'origine allemande .....
Acteurs
HUSTON Walter
BOGART Humphrey
HOLT Tim
BENNETT Bruce
BEDOYA Alfonso
MAC LANE Barton
DONDE Manuel
SOTO RANGEL Arturo
TORVAY José
LUNA Margarito
HUSTON John
BLAKE Robert
FARNSWORTH Richard
CALLES Guillermo
CANEDO Roberto
CHAN Spencer
DALYA Jacqueline
DUNN Ralph
ESCOTO Ernesto
FLAHERTY Pat
GARRALAGA Martin
HOLT Jack
ISLAS Francisco
MANCILLA Mario
RIVERO Julian
VILLALBAZO Ignacio
SHARPE David
SHERIDAN Ann
VALDESPINO
VEGA Ildefonso
VEJAR Harry J.
YOUNG Clifton
Résumé

Deux téméraires aventuriers, Dobs et Curtin, s'associent avec un vieil bonhomme, Howard, qui dit connaître l'existence et l'emplacement d'une fabuleuse mine d'or. Ils découvrent effectivement le mirifique gisement et se lie avec un étranger, un certain James Cody, qui meurt durant l'attaque de quelques renégats. Une longue et pénible marche, à travers un paysage semé d'embûches naturelles et de convoitises armées, commencent pour les rescapés et leur précieuse poudre d'or tant désirée...

>>> Un classique du film d'aventures, fort justement consacré à Hollywood...

Bibliographie
- La Revue du Cinéma numéro 72
- Fiche de Monsieur Cinéma
- L'Ecran Français numéros 167 et 190
- Zoom Zeitschrift für Film numéro 10/1974
- Saisons Cinématographiques 1948/49 et 1977
- Radio-Cinéma numéro 322
- Positif numéros 3 et 116
- Fiche IDHEC
Critiques (Public)
La résurrection de l'enfant reste l'unique morceau de sensibilité de cette aventure hirsute et poussiéreuse, exécutée par des personnages violents et incontrôlables d’abord solidaires, puis s'épiant les uns les autres sur un sol torturé, au même titre que leurs visages déformés par la faim et l'avidité. Ces collines mexicaines dénudées sont le dernier jardin de quelques miséreux en bout de courses, grisés par une prospection de l'or bien incertaine, dont les efforts considérables développés en commun contre une nature imprévisible et des congénères sans foi ni loi ne sont qu'un pale rayon de soleil, au milieu d'une méfiance ininterrompue. Les raisonnements logiques s'éteignent lentement, en laissant leurs places à la paranoïa. Un rôle magnifique pour Humphrey Bogart dans un premier temps misérable, combatif et encore propre, sombrant sans espoir, suite à un mauvais choix dans le doute, le délabrement cérébral, la crasse et la folie. JIPI