ARIZONA DREAM - 1992

Titre VF ARIZONA DREAM
Titre VO American dreamers
Année de réalisation 1992
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h20
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 15
Date de sortie en France 06/01/1993
Thème(s)
Aéroports (et / ou) aviation civile (Cinéma américain)
Rêves et cauchemars (Cinéma américain)
Grand Nord, Alaska et régions polaires (Lieux géographiques)
Tortues (tous pays confondus)
Roulette russe (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
KUSTURICA Emir
Chef(s) Opérateur(s)
FILAC Vilko
Musique
BREGOVIC Goran
Renseignements complémentaires
Scénario : David Atkins
Distribution : UGC
Produit par Claudie Ossard

Visa d'exploitation : 76 552
Acteurs
DEPP Johnny
LEWIS Jerry
DUNAWAY Faye
TAYLOR Lili
GALLO Vincent
PORIZKOVA Paulina
MASON Candyce
RANE Alexia
NOONAN Polly
SCHULMAN Ann
TOCKTOO Vincent
POLLARD Michael J.
JENCO Sal
O'GRADY Patricia
KEO Kim
WILSON James r.
LEIGH FISHER Tricia
Résumé

Axel Blackmar, jeune homme de vingt ans, dont les rêves vagabondent souvent du côté des régions arctiques, travaillant pour le Département de la Pêche et de la Chasse de New York, est demandé par son oncle Léo qui voudrait qu'il soit témoin à son mariage, dans sa petite ville natale d'Arizona. Là, il fera connaissance avec la folâtre Elaine Stalker, qui n'a qu'une idée en tête, voler, et rencontrera sa suicidaire belle-fille, Grace, qui voudrait tant se réincarner dans une tortue...

>>> D'une étonnante originalité, qui n'évite ni la dispersion ni la confusion...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1993
- Mensuel du Cinéma 2/1993
- Première numéros 177-190
- Studio numéro 69
- Positif numéro 383
- Cahiers du Cinéma numéro 463
- Télérama numéros HS mai 1993-2243 2308
- Nouvel Observateur numéro 1535
Critiques (Public)
Un film sur le rêve, qui revendique le droit à l'évasion, dans notre monde actuel, çà ne se trouve pas à tous les coins de rue... Alors bravo à Emir, Johnny, Jerry, Faye et les autres, de nous donner cette ultime possibilité de nous envoler aux quatre coins du monde, aux quatre coins du rêve.

L'excuse de faire des films à faire rêver l'esprit n'est pas une raison pour faire n'importe quoi. Alors que Kusturica avait si bien réussi à éviter ce piège avec "Le temps des gitans", là, il tombe en plein dedans. Le début du film n'est qu'une succession de gags visuels, certes drôles, mais ne servant en rien le scénario. Les idées de gags se faisant rares au bout d'un moment, le film dépourvu alors de tout l'humour qui cachait l'incohérence de l'histoire devient à la fin franchement ennuyeux. JFS