UN ZOO LA NUIT - 1987

Titre VF UN ZOO LA NUIT
Titre VO
Autres titres VF
Année de réalisation 1987
Nationalité Canada
Durée 1h55
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 16
Date de sortie en France 13/04/1988
Thème(s)
Cinéma canadien (ORIGINE)
Zoos
Réalisateur(s)
LAUZON Jean-Claude
Chef(s) Opérateur(s)
DUFAUX Guy
Musique
CORRIVEAU Jean
Renseignements complémentaires
Scénario : Jean-Claude Lauzon
Montage : Michel Arcand
Chanson de Jacques Brel
Produit par Roger Frappier
et Pierre Gendron .....
Distribution : Capital Cinema

Visa d'exploitation : 67 201
Acteurs
LEBEL Roger
MAHEU Gilles
ADAMS Lynne
BRASS Lorne
HOUDE Germain
SNELL Jerry
MASTROPASQUA Corrado
GIANNOTTI Anna-Maria
LORENZI Nereo
GARNEAU Amulette
MASSEY Walter
DE DONATO Dominique
CLARIZIO Nicolas
IERFINO Vincent
PROULX Luc
SAULNIER Jean-Pierre
MICHEL Dominique
BERGERON Jean-Pierre
ARCAND Denys
GIURATO Paolo
NAPOLITANO Luigi
WIPER Pierre
NADEAU Serge
BLONDIN Sophie a.
SICOTTE Julie
GIRARD Manon
MOUREZ Helene
CHAMPAGNE Anne-Marie
BINEAU Bertrand
LEMYRE Roger
NICKELL Andre
BARSALOU Michel
HUA Khanh
CICHI Fernando
CARON François
PELLETIER Jacques
Résumé

Marcel sort de prison après avoir purgé deux longues années de détention pour un lucratif trafic de drogue. Rêvant de partir en Australie avec Julie sa môme et son père Albert, il devra compter sur la sournoise présence et la violence notoire de deux policiers corrompus qui veulent absolument récupérer l'important magot astucieusement caché par le jeune homme avant son emprisonnement...

>>> D'un réalisateur décédé après seulement deux longs métrages, un film canadien étonnant dans sa brutale et acerbe violence, teintée d'une diffuse et permanente tendresse, racontant avec émotion et pudeur l'amour entre un père, malade cardiaque désirant chasser une dernière fois le mythique orignal, et son fils attentif et présent...

Bibliographie
- Cinéma numéros 399/400
Critiques (Public)
Le père, le fils et les mauvais esprits, pas évident, ce film canadien très noir, violent et cruel, physique(ment) et surtout psychiquement ... On en sort vraiment secoué, malmené ... du moins pour ceux qui tiennent jusqu'au bout ... Le réalisateur ne fait pas dans la simplicité (ni dans la fine dentelle par ailleurs) son film prend deux directions très différentes : le Marcel loubard chez les gangsters, séquences très S.M. et le Marcel filial qui retrouve son père, scènes d'une grande émotion. Le zoo est glauque, le zoo est lyrique ....  D.W. GRAPHITE.