Vingt-quatre heures dans la vie de trois familles d'autochtones dans une presqu'île des Caraïbes où les habitants dépendent essentiellement de la mer, via la pêche et le sel .....
Bibliographie
Critiques (Public)
Quelle beauté ! Ce village caraïbe qui se satisfait de ce qu'il a, ces pyramides de sel, ces filets de pêcheurs, ces corps parfaits... Chaque objet est à la fois utile et beau, qu'il s'agisse d'une cruche en terre ou d'un chapeau de paille. Certaines séquences restent longtemps en mémoire, comme le ballet des hommes cassant les cristaux de sel, ou les bouquets de coquillages au cimetière. On se prend à penser que l'on aurait aimé vivre cette vie simple (à condition d'apprécier le poisson !), sans doute ici un peu idéalisée. Pablo Neruda admirait le film, et avait même refusé d'en écrire la voix off au motif que les images étaient déjà un poème. Maxime