Un sous-marin atomique américain se retrouve immobilisé au bord d'une gigantesque faille de plus de 8000 mètres de profondeur. Une plate-forme de forage expérimentale, "Deepcore" dirigée par le dénommé Bud Brigman, est envoyée sur les lieux de la catastrophe. Se joignent à l'équipe de sauvetage, l'épouse de Brigman et trois agents spéciaux de la marine. Une incroyable aventure au bord du rêve, du fantastique et de la mort commence pour les principaux protagonistes...
>>> Un adroit et sympathique mélange de technologie et de poésie...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1989
- Revue du Cinéma numéro 453/1989
- Studio numéro 30-76/1993
- Positif numéro 345/1989
- Les Cahiers du Cinéma numéro 424/1989 HS /1994
- Télérama numéros 2072-2196 janv 1992-
2255 mars 1993
Critiques (Public)
Les recettes du genre sont désormais connues. James Cameron les manie avec efficacité, mais aussi avec une bonne dose d'angélisme. Quand le bleu des profondeurs vire au rose. Avec toutes nos félicitations au couple de nouveau réuni. D'autant que Mary Elizabeth Mastrantonio relègue aux oubliettes, et sans ménagements, Sigourney Weaver, Kathleen Turner et consoeurs. OLGA VON CLAP
Quel merveilleux spectacle! Des images superbes, une musique étonnante. Abyss serait-il un digne émule de notre Grand Bleu national? Certainement pas, car, comme souvent, les réalisateurs américains gâchent le résultat par une fin très médiocre (ces sacro-saints happy ends). (Ernst Stavro Blofeld 03/10/89)
Je suis un garçon de 14 ans. J'ai bien aimé « Le grand bleu » et quand j'ai vu l'affiche d' « Abyss » je me suis dit que çà doit être un film du même genre. Mais en même temps, j'y ai vu quelque chose de différent et je ne sais quoi m'y a poussé pour aller le voir. Ce fut un chef-d'oeuvre. Dans ce film sont mélangé le suspense, la haute technologie, l'amour et le rire. Pour moi c'est le meilleur film de l'année.
Non. Sigourney Weaver n'est en aucun cas reléguée aux oubliettes par cette espèce de conasse hystérico-féministe qui sévissait déjà dans Robin Hood. A elle seule, elle gâche un film qui autrement serait honorable nonobstant son happy-ending. Et le pauvre caporal Hicks, rescapé d' « Aliens », pète définitivement les plombs. On le comprend, ma foi et on aurait aimé le voir gifler à toute volée cette folle plutôt que de s'en prendre a de malheureux extraterrestres-bien-que-sous-marins.... UN ENERVE.