"Flasher" du mot flash, c'est de l'amerloque, traduction latérale, exhibitionniste, déviation sexuelle et morbide qui pousse certains sujet à exhiber impulsivement leurs organes génitaux, à poil sous un raincoat, un imper quoi, de préférence devant des petites pisseuses, lolychiennes en mâle d'initiation. Stan pratiquant en parallèle du William Skakespeare destroy, mettre ou ne pas se faire mettre, if you know what I mean, avant le destroy final au finish. Unhappy end." dixit Serge Gainsbourg ...
>>> Il faut d'abord reconnaître une excellente prestation de Claude Berri, dans un rôle "à bout de souffle", blessé, blessant, odieux, pathétique qui supporte à lui seul l'entreprise dans son inévitable et douloureuse progression suicidaire. Il faut laisser encore au crédit du film certains moments forts et troublants dans leur déchirante vérité / vacuité. Mais l'oeuvre est malheureusement trop courte ou trop longue et la frime (passagère) de Gainsbourg, toujours aussi insupportable...
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