UN THE AU SAHARA - 1990

Titre VF UN THE AU SAHARA
Titre VO The sheltering sky
Année de réalisation 1990
Nationalité Grande-Bretagne / Italie
Durée 2h15
Genre DRAME
Notation 10
Date de sortie en France 21/11/1990
Thème(s)
Bowles (Paul)
Déserts (Cinéma britannique)
Pont de Brooklyn (NY) .....
Cinéma britannique (ORIGINE)
Réalisateur(s)
BERTOLUCCI Bernardo
Chef(s) Opérateur(s)
STORARO Vittorio
Musique
SAKAMOTO Ryuichi HOROWITZ Richard
Renseignements complémentaires
Scénario : Bernardo Bertolucci
et Mark Peploe .....
d'après le roman de Paul Bowles
Produit par Jeremy Thomas
Distribution : AAA

Visa d'exploitation : 75 199

Nota :

* BAFTA 1991 : Meilleure photographie
Acteurs
WINGER Debra
MALKOVICH John
SCOTT Campbell
BENNETT Jill
SPALL Timothy
VU-AN Eric
AMINA
MORIER-GENOUD Philippe
KOUYATE Sotigui
NOVEMBRE Tom
BEN SMAIL Mohamed
CHERIF Kamel
OUBANA Brahim
LAZAR Veronica
DE FONSECA Carolyn
BRASCHI Nicoletta
TAMI Rabea
AFIFI Mohamed
ALAOUI Keltoum
IXA Mohamed
ALKABOUS Gambo
KASKO Sidi
KANAKAN Alghabid
ATTAYOUB Azahra
MOHAMED Magnia
ALGHABID Oumou
ALKHADAR Sidi
AJIL Abdelilah
BOWLES Paul
ZOUHEYRI Mouss
ACKLAND Joss
ABDELKRIM Laaroussi
MONNAR Samiri
GRAIS Ammou
REMITTI Cheika
Résumé

Nous sommes en 1947. Un couple de jeunes Américains, Port Moresby et sa femme Kit, débarque en Afrique, en compagnie d'un vague "ami" new-yorkais, Tunner pour un voyage dans le désert. Les deux époux, mariés depuis dix ans, ne s'entendent plus guère, ce qui favorise une liaison entre Kit et Tunner. Alors que son mari meurt d'une radicale fièvre thyphoïde, Kit fait la connaissance d'un chef berbère qu'elle suivra, fascinée, dans son "errance", dans le désert...

>>> Autant relire le foisonnant roman de Paul Bowles...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 466
- Première numéro 165
- Studio numéro 44
- Positif numéro 358
- Cahiers du Cinéma numéros 438-439-HS 1991
- Jeune Cinéma numéro 205
- Télérama numéros 2132-HS janvier 1991-2244
Critiques (Public)
A partir du récit de Paul Bowles, la tache du réalisateur du "Dernier empereur" (où il avait prouvé qu'il savait allier intimisme et ampleur) était ardue, et il n'a pas, cette fois-ci, complètement réussi à tirer son épingle du jeu très intérieur de Paul Bowles. Il faut dire que le désert est un partenaire difficile et étouffant qui a tendance à tirer toute la couverture à soi. Par ailleurs, Bertolucci n'échappe pas aux pièges des phantasmes occidentaux. Grâce au jeu remarquable de Debra Winger, le film reste cependant une oeuvre forte jalonnée de belles oasis.  DWG