ARSENIC ET VIEILLES DENTELLES - 1944

Titre VF ARSENIC ET VIEILLES DENTELLES
Titre VO Arsenic and old lace
Année de réalisation 1944
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h58
Genre COMEDIE
Notation 18
Date de sortie en France 20/12/1946
Thème(s)
Chefs-d'oeuvre (Comédie américaine)
3e âge (Cinéma américain)
Folies, démences et autres dérangements de l'esprit (Cinéma américain)
Halloween (tous pays confondus)
Poisons (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
CAPRA Frank
Chef(s) Opérateur(s)
POLITO Sol
Musique
STEINER Max
Renseignements complémentaires
Scénario : P.G. et J.J. Epstein
d'après la pièce de Joseph Kesselring .....
Produit par Frank Capra
Distribution : Warner Bros

Visa d'exploitation : 4575

Nota : affiche du film d'origine allemande .....
Acteurs
GRANT Cary
MASSEY Raymond
LORRE Peter
HULL Josephine
ADAIR Jean
LANE Priscilla
ALEXANDER John
HORTON Edward Everett
CARSON Jack
GLEASON James
MITCHELL Grant
LANE Charles
MAC NAMARA Edward
GLASER Vaughan
MAC WADE Edward
OWEN Garry
MANN Hank
RIDGELY John
PHELPS Lee
CLUTE Chester
WHITE Leo
CHARTERS Spencer
Résumé

Mortimer Brewster, écrivain reconnu pour une excellente étude sur les vertus du célibat, va rendre visite à ses deux vieilles tantes pour leur présenter ... sa future épouse ! Etonnement et stupeur pour le brave neveu quand il découvre que les deux sympathiques mémés empoisonnent gaillardement des hommes âgés dans l'indigence, afin de leur éviter une existence amère et une fin douloureuse...

>>> Un chef-d'oeuvre de la comédie américaine, avec un étonnant Cary Grant, inoubliable et génial dont on ne se lassera jamais. Désopilant à en mourir de rire...

Bibliographie
- L'Ecran Français numéro 79
- Saison Cinématographique 1945-47
- Nouvel Observateur numéro 1573
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1978
- Cinématographe numéro 40
- La Revue du Cinéma numéro 330
- Télérama numéro 1480
Critiques (Public)
15/20 : Revu en décembre 2007 cette comédie de Capra en dvd. Toujours très divertissant malgré les toiles d'araignée ou peut-être même en raison d'elles ? Juste un peu longuet par moments, je pense par exemple à la scène prolongée de Mortimer attaché sur la chaise dans d'interminables contorsions. Pour le reste, d'entrée de jeu, ces deux tantes angéliques, surtout celle qui trottine en balançant ses généreuses rondeurs d'une pièce à l'autre, laissent deviner qu'au moins un cadavre sera découvert, Agatha Christie oblige. En attendant, Cary Grant et sa blonde épouse vont traverser mille épreuves dans cette maison de fous, où un chauffeur de taxi stationne en perpétuelle attente. Très vite, on adhère au délire ambiant, comme de vieux habitués toujours bien reçus répugnant à tout sens moral. Que Mortimer convole en justes noces ou pas, il est débrouillard... En fait, une seule question taraude : ces deux vieilles dames si craquantes vont-elles prendre perpète ? L.Ventriloque